LA LGND DU NAUFRAGÉ

ou Le Naufragé de la Légende

mercredi 21 avril 2021

Y1h3A am wm mp (mercredi 21 avril 2021)

 La Mort D'un Naufragé - Le Réveil

Premier opus en onze ans depuis le dernier volet.


Onze pages, pour les onze années troubles.


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Les volets précédents sont ici:  

Volet 1: 3h30;  

Volet 2: 4h30

Volet 3: 5h40

Volet 4: 1h30;

 Volet 5: 2h81

Volet 6: 34h7k.


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Éventuellement, sur les internets habituels, des images de voyages verront le jour, ainsi que d'autres croquis-aventures du Naufragé.

Jean Derome, mercredi 21 avril 2021, 18h16.

jeudi 26 mai 2011

Le Naufragé et Johnny Lemonade


Les murs sont tous blancs ici, ce qui est idéal pour faire des dessins sur les murs. Il y en a un, au moins, qui en profite au maximum. Instantanément attiré par les créateurs visuels, je me suis présenté à lui pendant qu'il terminait une murale de dix pieds par quarante. John, qu'il s'appelle. Il m'a montré ses dessins plus personnels, dont son préféré, un super héros nommé Johnny Lemonade. Les peintures, et autres dessins abstraits, ça va. Mais les super héros... Vraiment, c'est pas ma tasse de thé. Et pourtant, ses yeux brillaient d'émotion devant son alter égo en spandex qui envoyait des tranches de citron dans les yeux de ses ennemis...
Je lui ai raconté mon histoire, pour essayer de le sortir de son univers impossible, et lui ai demandé s'il voulait bien créer une bande dessinée avec mes aventures. Avoir su plus tôt que le réel l'emmerdait autant, j'aurais sonné un autre timbré. J'étais si enthousiaste à l'idée d'avoir une bédé basée sur ma vie qu'il a finit par céder. Mais pour mon plus grand malheur.

Voyez-vous, si John a un talent de génie pour les trucs improbables et complètement loufoque, sa vision du monde réel au delà des murs de l'hospice réduit à néant son envie de créer. Bref, me voilà non pas avec dix chapitres comme prévu, mais avec seulement sept parties, et le style... Je vous dis pas à quel point c'est nul. Vraiment. Parfois, il n'y a que deux ou trois lignes avec une courte phrase. Lui, passe son temps à me dire "Ta vie, c'est n'importe quoi... Ça vaut pas la peine de s'y intéresser pour plus que deux coups de crayons. Au pire, si tu veux les vendre, tu diras que c'est du minimalisme. Les gens dehors, ils aiment prétendre que le minimalisme, c'est la nouvelle tendance... Et après ça, c'est moi qu'on traite de fucké."

John a les yeux vitreux en permanence et nie son talent à chaque fois qu'on le ramène à la réalité. Voilà un bien triste personnage qui aurait bien mérité un voyage pour voir toute la beauté qu'offre le monde extérieur. Mais il préfère rester ici, confortablement nourri et logé gratuitement, à coup de réprimandes une ou deux fois par jour. "Faut être cérébralement atteint pour vouloir quitter une place comme ça pour un demi sous-sol infesté qui coûte les trois quarts d'un salaire obtenu au bout de son sang dans un boulot qui te fait vomir à chaque heure de ta vie." Et bien, tant mieux pour lui... Je préfère davantage être accepté socialement que de pourrir dans un trou à fou et d'être pointé du doigt comme tel.

Qu'il crève, ton Johnny Lemonade, avec ses dessins pouraves de mes magnifiques aventures! Il te plaindront bien quand je leur montrerai tes pitreries.

mercredi 16 février 2011

Les Carnets du Naufragé

Certes, ce texte peut paraître confus. Ceci dit, il n'est là que pour m'aider dans le développement de mon projet d'ELM à l'UQAM. C'est pour moi. Si vous souhaitez lire, grand bien vous fasse.
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Les Carnets du Naufragé

Il crée d’abord une île paradisiaque où se trouve musique, abris, écrits, peintures, etc. sur un site internet (Second Life). Son besoin de montrer son œuvre aux autres devient de plus en plus important. Il a rassemblé ses plus habiles manuscrits dans une pièce qu’il nomme le Bureau. Cependant, personne ne va sur son île; on préfère aller à de meilleures discothèques branchées, autant dans le monde virtuel que le réel. Nau met ça sur le compte que son île n’est pas assez réaliste. Il ne mettra JAMAIS en doute ses talents. Il reconnait toutefois que son attitude « I’ll shove it in your throat » peut être problématique. En navigant sur le cyber espace, Google, il cherche des conseils du DSM-I à V. Une fois son problème trouvé (À CHERCHER), curiosité aigue et syndrome de l’over-exposure(?), il cherche un centre de traitement. Victoire : au fond des bois de Rawdon se trouve un centre de cure des exhibitionnistes anonymes. Avant son départ, il emporte ses papiers d’identités (il est amnésique), sa boite de Boiron 46 (il est insomniaque) ainsi que sa clé USB sur laquelle se trouvent les données de son ile merveilleuse qu’il compte peut-être montrer à ses futurs collègues de cure. Il comprend à moitié, on dirait…

Il se rend en autobus voyageur avant d’arriver, veston cravate, sur les lieux. La vanité de vouloir être vu comme un homme beau et propre. On l’accueil silencieusement (les Vœux de Silence) en lui demandant de donner tous papiers et informations qu’il pourrait montrer vaniteusement pour les mettre dans le Grand Livre d’Or (il contient toutes les poésies, tous les écrits, etc. de tous et chacun qui entre au camp). On lui montre sa chambre où l’attendront ses habits (toge crème et sandales) et son lit. Aucun ordinateur, ni papier ni crayon permis. S’en suivra une série de concepts à comprendre, des activités permettant l’acceptation du silence auto-infligé volontairement imposé. 1- Parler toujours tout bas, pour comprendre son problème (« Je parle dans le vide, et je le comprends »); 2- Les séances de non-intérêt, où un premier patient doit parler à haute voix à son coéquipier qui, lui, doit se boucher les oreilles (« J’ai beau gueuler, tu ne veux rien savoir. Je dois l’accepter » et « Tu as beau gueuler, je ne veux rien savoir. Il me faut l’apprendre. »), ainsi que la trouvaille de son animal Totem : 1ere apparition du pingouin.

Le dernier point de la cure est la Défenestration. Lorsque toutes les étapes sont franchies avec succès, le patient a fini par accepter que le monde extérieur ne veut rien savoir de ce qu’il a à dire. Et pour ne pas succomber à la tentation, le « Suicide » nous permet de nous réfugier dans un total et infini silence où nous finirons tous en paix, guéris et loin de la maladie qu’est l’Intérêt et la Curiosité. Le jour avant sa Défenestration magistrale, Nau conserve sa petite bouteille de lait offerte à tous les midis. Il la cale puis y insère sa clé USB, au cas où lui viendrait de lancer sa bouteille, son identité, à la mer, dans l’espoir que quelqu’un puisse continuer son héritage.

Nau, à l’appel de son nom pour l’ « Exécution », pris de peur, décide de rembourrer sa toge et son veston cravate (porté amoureusement en secret sous sa toge) de feuilles et de branches avant d’apparaître devant la Majestueuse Fenêtre du Silence. Dans la pièce, le Grand Livre d’Or est posé à côté de la piste de lancement. Il doit poser sa main dessus, porter allégeance. Alors que tous se retournent lors du lancement du patient, Nau en profite pour subtiliser le Livre d’Or et le glisser sous son veston avant de se jeter en bas de la fenêtre. Ses feuilles n’amortissent pas très bien le choc, mais il survit. On transporte alors son corps tandis qu’il feint le mort. Dans son sac mortuaire, les Zipettes, il se débat pour en sortir, puis l’utilise comme un sac de voyage (dans lequel il fourre le Livre d’Or) avant de courir jusqu’à la route principale en se guidant uniquement avec son ouïe (aucune orientation).

Enfin sur le bord de l’autoroute, Nau fait du pouce. Une jeune femme, plus blanche que le marbre et les cheveux gris-mauves, conduisant une voiture sport éco-énergétique, décide de s’arrêter à la vue de cet homme portant un costard. « Voilà quelqu’un qui semble au courant des vraies valeurs de la société : le look et le chic. » Durant le covoiturage, elle lui pose mille et une questions sur le système éducationnel. Elle veut devenir enseignante dans un collège privé tout en étant l’image de la professeure femme fatale. Celle qui tape sur les fesses des vilains garçons pré-pubères qui se branlent en classe en pensant à elle. Nau est bien baisé, car malgré les informations qu’il donne gratuitement à sa chauffe-fesse, elle ne donne rien en retour, sinon qu’un discours fleuve sur son dégoût envers les drogues, la caféine et l’alcool. Son intérêt est uniquement voué à ce que sait le Naufragé concernant le salaire et la formation des enseignants, et non pas pour ses prouesses. Il tient dans sa main la petite bouteille de lait contenant sa clé USB dont il avait oublié quelque peu l’existence, toujours distrait par la beauté sauvage de son amie. Elle finit par lui demander ce que c’est, cette bouteille, rendus en ville. Dorénavant rendu homme de forêt, les bruits environnant le déstabilise. Il devient de plus en plus confus dans ses propos tandis que Prude Pute lui demande ad nauseam ce que sa bouteille contient. Le vacarme remplit la tête de Nau et, pris de panique, il gobe tous les Boirons qu’il avait jusqu’alors conservés et tombe dans un profond coma.

Il se réveille dans un hôpital. Personne ne sait qui il est, car l’amalgame de papiers d’identité est trop dense pour pouvoir chercher de qui il s’agit. Nau veut récupérer la bible, mais est tenu en échec par les physiciens. On le transfert au pavillon des malades mentaux, où il fait la rencontre de Johnny Lemonade. Lem a été diagnostiqué indifférent chronique. Il n’est jamais satisfait de ce qu’il possède et fait une moue indifférente, malgré tous les bonheurs simples qui lui arrivent. En lui, Nau trouve un alter égo auquel il s’identifie, tout en le jalousant.

lundi 15 novembre 2010

Nocturne Kaléidoscope

Rivières fruitées, les fêtards endimanchés, les journées longues de printemps, tout est en suspend. Dans l'oeil du cyclone, le vent rafale tempête et seccoue. L'air alcolisé se fracasse contre mon cerveau de gelée agrume. Visages difformes à travers ma fumée piaillent enfants gâtés et insouciance lointaine. Comme je vous envie, rougeur cerise, vos caresses, rires éclatant. Dans ma grotte, les ombres vont nonchalantes, cachotières. Une paume sur paume, les baisers vont et viennent, troublent mes yeux charbonniers. Rivières de louanges, des fruits mesquins. Sur les parois granules et boue, jouent mes doigts un portrait de vous.
Recule, efface, recommence.


Pierre sur pierre, la craie perce et blanchie sur pierre polie. Le trait plus clair, plus sombre, moins écatombe. Gorge souple et salive sans rancune. Frappe. Frappe. Frappe. TapTapTap la dictalo, car les écrits restent. TapTap, recule, déchire, et marche. Coeurs de verre, coeurs centenaires, et fleurs plastiques pour les romantiques. Kaleidoscope difforme, multicolore, mais indolore. Essaim d'enfantillages malsains. Noir goudron ma vue et mes poumons. Les klaxons, les sifflets, les messieurs en habit bleu. Vous me donnez raison. Fuir la réalité, abri tempo mal installé, le vent coulant entre les fentes. Y'en a partout, j'vais finir noyé...


L'automne, vous avez froid, vous oubliez le petit moi, et c'est caresse après caresse. RonRon les amoureux sont cons. Le vampire social que je suis, je me nourris de vos histoires, concasse la matière, réduis en cendre toute illusion de bonheur. Rêveur de petit pré, cageôleur de grotte emmitouflée, couverture de rocaille sablonneuse. Alinéa 3, voir le flâneur de Beaudelaire: carnet de poche, stylo ringard, chaussures minables, tête à ne pas recommander. Fam: rôdeur, voyeur. Petit piano, je note note note, gros bémol, ça ne sonne pas. Petit scribe de peu d'ambition.


Pourquoi tu n'es pas là, me tenir tête, me faire rire, petite cambrioleuse de souvenirs. Gourmande d'offre, toujours en demande, mais jamais disponible. La portée du Cyclope ne se rend pas jusqu'à toi. Et j'ai essayé, encore et encore. J'ai frappé ma grotte des levrès qui te ressemblent, j'ai inscrit ta voix sur mille papiers, mais Polyphème, tes moutons partent toujours sans donner de nouvelles. Nos mots n'aboutissent pas. Tout ça n'est que nocturne kaléidoscope, étrange mélange confit de bruits napalmes, faible hérisson qui s'hiro-chimère. Mes mirroirs, jeune et vieux, mince et laid, je garde une langue amère. Pourquoi tu n'es pas moi. Exactement comme moi.


TapTapTap, sur la machine clic clic, sur l'assomante portative qui BipBip PopUp. Dring dring sans réponse Dings dongs jého-J'viens pas, et autres buzz fantôme de cellphone. Coups de ça-va-ça-vient entre les reins qui vient pas, encore drelin drelin, mais pas de Merlin, juste des tics, des tics-tacs, du tac-au-tac, l'horloge clignote chuchotte debout, penchée sur mon souffle court, mon sommeil qui ne vient plus. Vroum, screech, uhn-tiss uhn-tiss, ça va passer, c'est pas moi. Plongent les écouteurs limaces au fond de ma carcasse, vibre mon thorax, mon gros égo de sans coeur, de pince sans pleur. Glousse, ma poule; smile, you're on camera. Voyeur et activités solitude avec tissus, t'es qu'une poubelle. Même si, pendant un instant, t'es assez jolie pour être elle. Plus proche portrait que mes dessins abstraits, ma pierre cassée, ma tête fragment de moi. Mon canon, aggressif, impulsif, ci-gît devant ma silhouette. FapFapFap, et frappe frappe frappe tes draps, ton matelas. Clic clic pop Up, scroll down, mes discussions avec toi. Pourquoi t'es pas moi.


Iglou, iglou, iglou, je ne suis pas des vôtres. Je cherche encore, ma main gratte-coco fume, sifflote, caresse l'air chaud de la fan. Iglou, iglou, je suis mieux que vous autres. Mes rivières, soupière banana-fish, murmurent une photo, profile une belle fille. Et tu baignes tes pieds, ma marmitte à papiers, et tu n'en sors pas. Tu souris, puis faibli. Ne reste plus que de la limaille de rêve. Vitamine carrencée, je préfère en rester là, plutôt que de manquer de toi. Glouglou, les poules pas de tête, c'est plus séduisant pour l'ampoule ébrêchée que je suis. Glouglou, ça rit, ça chante, ça loufoque et ça pleure pas sur tout t'es rien. Ça boit à tout terrien, sur tout terrain, ça vous en bouche un trou, plein la gueule les sans dessein. Bien mal aimé qui ne rigole point. Alors je bois, je frivole l'alcool, les détritus pharmaceutiques, anarchaïque, et schizophrène. Tempête dans ma flûte, tout reflexore mes gestes et mes mirroirs, fracas de vitre en poison. Turbine de lave, rocher percé de la membrane bien pensante. Fissure et déconfiture au fond de ma cave, partout s'envole mes calepins, perdu dans une marre de y'en a marre. Foudre violette sur mon oeil cyclone, l'orage ruine-babine, les marées montantes. Ma noyade de toi. Ma haine de toi et lui. Je robinsonnerai à des milles de toi, en wilsonnant dans mon kaléidoscope nocture.



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Lundi, 15 novembre 2010, minuit 50
Jean Derome

lundi 19 avril 2010

Petits Dessins. Merci Lucien.

Oui oui, ça s'en vient, les 3 volets du Naufragé. En attendant, gâtez-vous avec des ptits croquis. Le message sera peut-être modifié pour rajouter les 3-4 pages de pseudo poésie déssinée.
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. Chez Raph, en m'emmerdant...
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. "Chui ta Gueule!" "Ah putain, t'as grandi... t'es dégueulasse.."
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. Un ami disait, ce soir là: "Ouin, j'aime les femmes" avec le grand sourire...
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. Merci pour la musique.
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. Everything Is A Balloon.
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Stay tuned for more Stickin' Around!
DM aka LGND
19 avril 2010, 14h

mardi 12 janvier 2010

34h7k - le temps s'effiloche constamment (mardi 12 janv. 2010)

Mon deuxième cahier de dessins est enfin fini. J'vais pouvoir passer à un autre volet, et vous prouver une nouvelle fois que j'ai pu d'idée, et ce depuis le volet 2 =)

Voici donc: "La Mort d'un Naufragé, Volet 6: Maître de Soi":


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Volet 1: "La Mort d'un Naufragé - Expliqué aux Tous Petits",
le volet 2: "Les Fantômes et la Survie", le volet 3: "Retour à Neverland", le volet 4: "Le Tournage", et le volet 5: "Insomnie/Amnésie".


À bientôt, sur vidéo, probablement =)

Jean Gouin.
12 janvier 2010, 15h30

mercredi 9 décembre 2009

2h81... (9 déc 09)

Après le Volet 1: "La Mort d'un Naufragé - Expliqué aux Tous Petits",
le volet 2: "Les Fantômes et la Survie", le volet 3: "Retour à Neverland" et le volet 4: "Le Tournage".....

Volet 5 : " Insomnie / Amnésie ", mettant en vedette le Naufragé et Vanessa Bioskop.

*Il est à noter que la couverture (mis à part le titre) a été écrite et dessinée par oJo Peters lui-même! Merci encore à toi, Jo Symphonique! *

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À la prochaine, les ptits potes!
Jean Daire, 9 décembre 2009, 19h45

EDIT: Le Volet 6: "Maître de Soi" enfin disponible!

mardi 6 octobre 2009

1h30 am (6 oct 09 24h02)

Après le Volet 1: "La Mort d'un Naufragé - Expliqué aux Tous Petits",
le volet 2: "Les Fantômes et la Survie", et le volet 3: "Retour à Neverland"....

From the streets of FaberTown!!, Here comes....... Le Volet 4: "Le Tournage"!


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See ya soon, folksyz!

-DM- 6 oct.2009, passé 24h01

EDIT: La suite ici: Volet 5 "Insomnie/Amnésie"

5h40 am (mardi 6 oct 2009)

Troisième et dernier volet graphique de La Mort d'Un Naufragé: "Retour À Neverland"


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La Fin.

Au plaisir, folks.
-DeadMachina- 6 octobre 2009, 21h48


EDIT: la suite ici. Volet 4: "Le Tournage"